Formation, Mobilité
Lancement des travaux du projet ESITL
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Après une première réunion à distance organisée début février, les partenaires du projet ESITL ont officiellement démarré les travaux dans le cadre d’une réunion hybride organisée les 8 et 9 avril derniers à Vic en Espagne.
Le projet ESITL, cofinancé par le programme Erasmus +, vise à renforcer la valorisation de la mobilité européenne des apprenants au niveau 5 du cadre européen des certifications (CEC) en Transport et Logistique et Commerce International (BTS GTLA et CI en France).
Dans le but de créer une base d’entente commune entre tous les partenaires pour les qualifications ciblées, la première étape du projet consiste en l’élaboration de profils métier et de répertoires de compétences consolidés entre les quatre pays partenaires (Allemagne, Espagne, France, Portugal).
Dans un deuxième temps, les partenaires développeront des solutions opérationnelles permettant d’organiser des actions de mobilité et de faciliter l’évaluation et la reconnaissance des acquis d’apprentissage des étudiants bénéficiant d’une mobilité.
Une réunion de lancement
La première journée de la réunion de démarrage a permis au coordinateur de présenter le projet dans sa globalité à l’ensemble des partenaires, présents à Vic et connectés à distance. Ainsi ont pu être discuté :
- les différentes étapes et échéances des livrables principaux,
- les responsabilités et rôles de chaque partenaire,
- les activités de communication et de diffusion
- ainsi que le suivi qualité du projet.
Lors du deuxième jour, deux groupes de travail ont été créés pour chacun des deux secteurs afin de commencer les réflexions respectivement sur le profil métier de l’exploitant de transport et l’assistant commercial import-export.
Une première étape gérée par l'AFT pour le Transport-Logistique
L’AFT est en charge de coordonner cette première étape pour le groupe transport-logistique et consolidera les contributions des partenaires.
Objectif : créer un profil métier en commun qui prendra en compte notamment les questions environnementales et l’évolution technologique et organisationnelle du secteur afin de créer un document valable pour les dix prochaines années.
Les travaux et échanges continueront à distance, le prochain rendez-vous physique est fixé pour mi-septembre à Paris.